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Etat d’urgence en question, Le chavisme sans Chávez, ceux qui ont écrasé les Grecs et le FN...

Le Grand Soir
Journal Militant d'Information Alternative
 
Cette semaine
Depuis trop longtemps, le Peuple a cessé de donner de la voix...
Lantifa
L’armée a pris dans les rues la place du Peuple – interdit de manifs – et le Front de la Haine de classe est aux portes du pouvoir... l’heure est grave. Elle l’est assurément, elle l’est depuis longtemps hélas. Il n’est plus temps de se lamenter et de se draper dans des habits étriqués de Jean Moulin de pacotille. Les sombres nuées de la réaction la plus dure courent sur le pays depuis trop d’années déjà, et qui peut penser que les gesticulations xénophobes de Sarkozy ou que coups de mentons patronaux (...) Lire la suite »
 
Après la leçon des urnes dimanche...
Jean-Marc GARDES
Et voilà en ce second tour, où toutes les formations politiques viennent une fois de plus nous affirmer – la main sur le cœur – qu’elles ont entendu le message des électeurs, qu’elles vont faire autrement, etc. ; que se dessine, ou plutôt se poursuit, le dessin du « deux = un ». (1) À écouter certaines déclarations faites dimanche soir sur les plateaux de télévisions, les grosses formations politiques traditionnelles, U.M.P. aujourd’hui L.R., et P.S., pourraient envisager de se rapprocher encore un peu (...) Lire la suite »
 
Les 2 500 perquisitions n’ont provoqué l’ouverture que de 2 enquêtes, sans garde à vue.
Gilles DEVERS
Dis François, pourquoi tu tousses ? Avec l’état d’urgence, les malfrats ne font plus les malins, et surtout ceux susceptibles de récupérer du fric permettant de financer des réseaux. La police gouverne, nous sommes tranquilles... Sauf qu’à l’évidence, l’état d’urgence, ça ne marche pas. Du côté du droit, le so comic Conseil d’Etat, pour faire genre, fait semblant de s’interroger sur la loi, alors qu’il l’a validée. Mais l’essentiel vient du terrain : toutes les informations montrent qu’en réalité, le bilan (...) Lire la suite »
 
Karim MOHSEN
Le phénomène dit « terrorisme islamiste » est devenu le fléau d’un début de troisième millénaire calamiteux. Le qualificatif a été vite donné à la nouvelle barbarie taxée, à tort, de « terrorisme islamiste ». L’adjectif « islamiste » est superfétatoire et ne renferme qu’une parcelle de vérité qui n’est pas la vérité. En effet, si ces tueurs se réclament de « l’islam », ils le font par défaut et en rapport tant avec les besoins de leur mentor et sponsor pour l’un que des objectifs stratégiques et géopolitiques pour (...) Lire la suite »
 
Réimpulser la Révolution Bolivarienne
Ernesto BUSTOS
La Révolution Bolivarienne, le chavisme c’est beaucoup plus que l’exploit d’avoir gagné 18 des 20 élections sur 16 ans. Les victoires et défaites électorales sont un marqueur, le reflet d’un sentiment national à un moment précis, instable dans le temps comme les variations de la température du froid et du chaud. « Les » partis d’opposition assoiffés de pouvoir qu’ils n’exercent plus depuis le commencement de la révolution, prêts à se dévorer entre eux pour la Présidence de l’Assemblé Nationale ou autres (...) Lire la suite »
 
Un revers électoral important pour le Front de Gauche, pour le PCF
Pierre LAURENT
Les résultats du second tour des élections régionales sont marqués par le sursaut de mobilisation des électrices et des électeurs, avec près de 9 % de participation supplémentaire. Manifestement, les votants ont ressenti comme un grave danger pour la démocratie, l’élection du Front national à la présidence de régions. Ils ont empêché cette menace de se concrétiser. Le Parti communiste, qui avait appelé à battre le FN dès dimanche soir, pousse un ouf de soulagement. Ce sera un atout dans la bataille à venir (...) Lire la suite »
 
Jean-Luc MELENCHON
Ce soir s’achève la campagne électorale la plus étrange, la plus démoralisante, la plus glauque que nous ayons connu depuis bien longtemps. Elle s’est entièrement déroulée dans une ambiance de peur et de méfiance. Elle a été dominée de bout en bout par l’extrême droite dont le thème, le style, le ton ont dominé et défiguré les paroles et même les stratégies de tous les partis de gouvernement. Ce soir une catastrophe a été évité de justesse, il faut en remercier les millions de personnes qui ont voté avec des (...) Lire la suite »
 
Un rêve PS d’une future grande coalition avec la droite libérale ?
Patrick Apel-Muller
Le Front national n’est pas parvenu à l’emporter dans les régions qu’il convoitait. La mobilisation d’une proportion assez importante des abstentionnistes a fait la différence. Là où seuls demeuraient des candidats de droite face à l’extrême droite, la majorité des électeurs de gauche a choisi de faire barrage à la famille Le Pen, le choix du moindre risque, un vote au goût amer. Le cénacle qui gravite autour de l’Élysée espérait que l’essor du FN, les configurations triangulaires au second tour (...) Lire la suite »
 
David PESTIEAU
Pour comprendre les causes profondes de la percée du Front national, nous devons toucher aux politiques appliquées par les partis traditionnels en France et en Europe. Nous devons aussi voir pourquoi l’Union européenne est responsable de la montée du FN et comment la remise en cause fondamentale de la politique de l’UE est aussi la seule manière de contrer le FN. C’était il y a un an, à la veille du Nouvel An, avant les attentats et la crise des réfugiés. Le célèbre économiste Thomas Piketty signait (...) Lire la suite »
 
Chien Guevara
2002, élection présidentielle : Le PS est éliminé dès le premier tour. Le choix est basique pour le second : soit la droite, soit l’extrême droite. (Soit dit en passant, la droite de l’époque, celle de Jacques Chirac, était beaucoup moins à droite que celle de Nicolas Sarkozy et son parti républicain actuel). Donc le choix est simple pour tout le monde : le FN revote pour lui, et tous les autres votent contre lui. Et c’est ce qui s’est passé. Résultat : le FN passe de 4,8 millions de voix au premier (...) Lire la suite »
 
La criminalité financière s’est emparée de l’économie et de la finance
Pierre VERHAS
Ces trois dernières semaines ont été marquées par les massacres de l’Etat islamique à Paris et leurs conséquences sur les libertés fondamentales. Le juge d’instruction belge Michel Claise n’hésite pas à affirmer dans un entretien à la Libre Belgique du 5 décembre : « Le blanchiment d’argent et la corruption représentent 6 % du PIB mondial, soit des milliers de milliards d’euros. Sans criminalité financière, il n’y a pas de massacre au Bataclan. Tout est imbriqué. Ce qui s’est passé à Paris est un (...) Lire la suite »
 
José Manuel Martín Medem
Quand Felipe Gonzalez dit que le Venezuela vit sous un régime tyrannique, personne ne demande à l’ancien chef du gouvernement espagnol qu’il expose ses arguments qui soutiendraient un mensonge aussi éhonté. Et lui de rajouter que le Chili de Pinochet respectait plus les droits de l’homme que le Venezuela de Maduro. Par contre quiconque voudrait lui répondre se verrait obligé d’apporter milles et une preuve, lesquelles n’auraient de toute façon aucun effet contre la mauvaise foi. Le Venezuela n’est (...) Lire la suite »
 
Entrevue accordée par le Président Bachar al-Assad à la télévision tchèque le 1er décembre 2015 [Texte intégral]
Bachar al-Assad
Question 1 : Permettez-moi de commencer par une question personnelle. Vous êtes médecin. En 2011, vous avez dit, et je vous cite, que vous avez choisi la chirurgie ophtalmologique, car c’est une spécialité qui se pratique rarement en situation d’urgence avec peu de saignement. Cette même année 2011, la guerre syrienne a éclaté ; le conflit le plus meurtrier dans le monde et une grande urgence. Quel est votre sentiment à ce sujet ? Président al-Assad : Si vous cherchez à établir une relation entre ce (...) Lire la suite »
 
Il n’y a pas de fascisme « à visage humain »
Jean ORTIZ
Ces jours-ci nous mesurons une fois de plus le fort rejet du « système » par des millions d’exploités, le carton rouge aux comportements politiques frelatés. Combien de fois, nous communistes, l’avons dit et répété : le fascisme -appelons un facho un facho- cela peut commencer par un sourire convenu, un programme faussement « social », une victoire électorale, des frustrations populaires… Et nous savons que cela termine toujours à Buchenwald (pour faire court). « Comment est-ce possible ? », « en (...) Lire la suite »
 

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