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Protestations - Page 3

  • L’appel des Goodyear : signez la pétition

    Deux poids, deux mesures ?

    Deux poids, deux mesures ?

    Parce qu'il n'est pas acceptable que soit criminalisée l'action syndicale !
     
    Parce que la condamnation à la prison ferme de huit salariés syndicalistes, dont sept affiliés à la CGT, participe de la volonté d'intimidation du mouvement social alors que le gouvernement s’apprête à constitutionnaliser l'état d'urgence et à  limiter le droit des travailleurs par une refonte du code de travail.
    Le MS21 s'associe pleinement à la mobilisation pour défendre les huit syndicalistes de Goodyear condamnés à de la prison ferme et vous appelle à signer la pétition en ligne sur ce lien 
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  • NON à l'interdiction de manisfester ! NON aux atteintes à la démocratie !

     

    Qui a piétiné les fleurs hier , place de la République ?

    Qui a piétiné les fleurs hier , place de la République ?

     

    Réchauffement climatique :  
    osons une autre pensée   politique !

     

    • La COP 21 : un nouvel échec programmé

    • La lutte contre les GES est insuffisante

    • L'aide aux pays les plus vulnérables n'est pas garantie

    • L'indignation citoyenne portée par la "Coalition climat 21" est

    • inopérante.

     

    IL FAUT :

     

    • Remettre en cause un système économique basé sur le profit
    • Remettre en question la mondialisation et le libre-échange.
    • Débattre d'un protectionnisme écologique et social.
    • Promouvoir la transition énergétique et agro-écologique.
    • Redéfinir le rôle de l’Etat pour être le garant de l’intérêt général.

     

        La question climatique est liée au système économique, à présent mondialisé, basé sur l'usage des énergies fossiles. La consommation sans limite de cette énergie a produit peu à peu une accumulation de CO2 dans l'atmosphère et créé un réchauffement climatique perceptible dès la fin du 19ème siècle, dont nous mesurons aujourd'hui l'ampleur et l’accélération. La société de marché productiviste a besoin de cette énergie pour fonctionner et il est illusoire d'imaginer que ce système soit en mesure de résoudre les problèmes qu'il génère lui-même. Résoudre la crise écologique et climatique appelle à d'autres politiques économiques et sociales. Celles-ci sont toujours absentes des grandes décisions internationales parce que le système économique néo-libéral actuel veut se maintenir et trouve cyniquement au sein des problèmes engendrés de nouvelles sources de profits dans ce que l'on appelle capitalisme vert ou économie verte. La 21ème Conférence sur le climat à Paris (COP 21) ne va pas déroger à la règle. Comme pour les précédentes conférences, c'est vers un nouvel échec programmé que nous nous dirigeons. Les deux enjeux de la question climatique sont connus : (i) réduire les émissions de gaz à effet de serre pour que le réchauffement de la Terre soit inférieur à 2°C, (ii) aider les pays les plus vulnérables en leur permettant d'avoir accès à des transferts de technologies et à une aide financière.
     
    La lutte contre les GES est insuffisante.      
    A présent, sans distinction entre pays développés, pays émergents et pays en développement, tous les pays doivent contribuer à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre (GES). Les contributions volontaires des pays ne permettent pas de se placer sous la barre des 2°C, mais sur une trajectoire allant vers 3°C. L'échec de la COP 21 est consommé et rien n'est acquis dans la négociation à Paris pour revoir à la hausse les objectifs insuffisants des pays. Le transport aérien et le transport maritime qui commandent la mondialisation économique ne sont toujours pas concernés dans les objectifs de réduction des émissions. Et aussi extraordinaire que cela puisse paraître, les termes « énergie », « énergies fossiles », « énergies renouvelables » qui conditionnent les politiques de transition énergétique ne sont pas mentionnées dans le texte de négociation de la COP 21. En ignorant, comme par le passé, les énergies fossiles qui représentent au moins 80 % des émissions de CO2, la COP 21 n'entend pas toucher aux 700 milliards de dollars de subventions publiques directes au secteur concerné, comme s'il était possible de réduire les émissions de CO2 sans réduire ce qui les génère.
     
    L’aide aux pays les plus vulnérables n'est pas garantie.L'aide promise à Copenhague, six ans auparavant, de 100 milliards de dollars par an à partir de 2020 (Fonds vert) pour aider les pays les plus vulnérables n'est pas acquise. Rien n'est garanti pour que l'aide s'appuie sur de l'argent public et non sur des financements privés, c'est à dire des prêts bancaires, ce qui marquera une fois encore la domination des pays du Nord sur les pays du Sud. Quelles que soient les décisions prises, on ne sait toujours pas si l'accord sera contraignant ou non. Un accord indiquant que les pays « devraient » et non « devront » signifierait la ratification d'une coquille vide.
     
    L'indignation citoyenne portée par la « Coalition climat 21 » est inopérante.     
    La Conférence de Copenhague en fit déjà l'amère expérience; l'exceptionnelle mobilisation de la société civile n'a rien changé aux décisions prises, montrant les limites d'influence des ONG et des mouvements sociaux, leur impuissance face aux réalités des rapports de force internationaux. Mis à part les bons mots de nos responsables politiques, (« c'est le sommet de la dernière chance », « l'échec n'est pas une option, c'est un suicide », « c'est l'avenir de la planète qui se joue dans trois mois »), on reste confondu par le quasi-silence des partis politiques sur la question climatique. Il y a un fossé entre les politiques énergétiques mises en place et un scénario cohérent pour limiter l'élévation de la température mondiale de 2°C.
     
    Résoudre la crise écologique et climatique  Cela nécessite d'avoir une autre pensée politique qui n'hésite pas à remettre en cause un système économique financiarisé dont la seule finalité est l’accroissement des profits fondé sur l’accroissement de la production et de la consommation. L'avenir de la planète, des sociétés humaines ne peut être soumis à la seule comptabilité financière du monde. La surconsommation effrénée est un leurre qui engendre insatisfaction, violence et destruction des biens communs. Toutes les conséquences environnementales et sociales qui conduisent inéluctablement au désastre sont inhérentes au système. Changer de système signifie remettre en question la mondialisation capitaliste néo libérale, le libre-échange, débattre sur la mise en place d'un protectionnisme écologique et social, accorder une réelle importance à la transition agro-écologique qu’exige une politique agricole et alimentaire commune, envisager des politiques de solidarité avec les pays les plus vulnérables sur la base de taxations aux frontières, donner un statut juridique aux réfugiés climatiques.
     
    Oser une autre pensée politique nécessite des choix.Le premier d'entre eux est de sortir du carcan néolibéral de l'Union européenne (principe de concurrence, libre circulation des capitaux) et de promouvoir des coopérations entre les États. Le point clé est de redéfinir le rôle de l’État pour qu'il soit le garant de l'intérêt général, vecteur des investissements à long terme pour une réelle transition énergétique. Une telle direction nécessite de retrouver une souveraineté monétaire hors des contraintes de la zone euro (monnaie unique) et des traités européens (obligation d'emprunts sur les marchés financiers), et une souveraineté nationale et populaire garante de l'expression de la démocratie
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  • Le ministre de l’Intérieur confond le mouvement associatif au terrorisme

     

    Le ministre de l’Intérieur perd ses nerfs, confond et assimile le mouvement associatif au terrorisme

    (source: La ligue des droits de l'homme)

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    Après avoir interdit les manifestations citoyennes autour de la COP21, voici que le ministre de l’Intérieur assigne à résidence M. Joël Domenjoud, en charge de la « legal team » de la coalition au motif qu’il ferait partie de l’ultra-gauche parisienne qui veut remettre en cause la tenue de la COP. M. Domenjoud est tenu de pointer trois fois par jour au commissariat.

    Si l’on avait besoin d’une confirmation que l’état d’urgence est un danger pour les libertés publiques, cette mesure en attesterait tant elle révèle que la lutte contre le terrorisme n’est ici qu’un prétexte pour interdire toute voix dissonante.

    Comme nous l’avions craint, l’état d’urgence s’accompagne de mesures de plus en plus arbitraires.

    D’ores et déjà nous demandons la levée immédiate de l’assignation à résidence de M. Joël Domenjoud.

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  • Pourquoi se rassembler le 22 septembre ?

     

     

    Célébrer la naissance de la République le 22 septembre est une manière de manifester notre volonté de vivre libre et notre confiance dans l’avenir, en nous situant dans la continuité de l’histoire démocratique de notre pays.

     

    Depuis des décennies, en pratiquant une politique contraire à leurs promesses, les responsables politiques de tous bords méprisent les électeurs. En expliquant que la politique d’austérité qu’ils mènent est la seule qui vaille, ils brisent le droit à une vie meilleure. En s’exonérant eux-mêmes de l’effort demandé au peuple, ils humilient le citoyen.

     

    En proclamant la République le 22 septembre 1792, le peuple français, il y a plus de deux siècles, a exprimé qu’il n’acceptait pas d’être dominé ; il a manifesté son attachement à la démocratie et aux droits de l’homme. En célébrant ce moment, nous rappelons que le combat pour la Liberté est toujours actuel. C’est en affirmant notre volonté individuelle et collective que nous pourrons sortir du carcan que nous imposent aujourd’hui les institutions tant nationales qu’européennes.

     

    Il est plus que temps de mettre fin à cette humiliation politique et sociale, de se redresser et de montrer à ceux qui gouvernent que le peuple ne supporte plus l’offense quotidienne qui lui est faite.

     

    A Paris, le 22 septembre, venez rappeler que votre volonté de vivre libre est intacte.

     

     

     

    Tous aux Tuileries le 22 septembre à 18h30 à côté de la plaque qui célèbre la naissance de la République en face du 228 rue de Rivoli Métro Tuileries

     

     

     

    André Bellon

     

    Président de l’Association pour une Constituante

     

     

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  • Révolte à Tourcoing : leçons sur l’articulation systémique police-médias-justice

    par Saïd Bouamama

     

    (5 juin)

     

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    Depuis 4 jours au moment où nous écrivons cet article, le quartier de la Bourgogne à Tourcoing est le lieu d’affrontement entre la police et les jeunes du quartier. Véritable scène de guerre avec un hélicoptère survolant le quartier dès le soir tombé, courses-poursuites contre des groupes de jeunes lançant des pierres et nombreuses arrestations. Le déclencheur est une nouvelle fois la « mort d’un frère (1) », comme disent couramment les jeunes dans nos quartiers. La presse locale se fait comme toujours le relais des explications officielles et ne se donne même pas la peine de recueillir les autres versions circulant sur le quartier ni d’interroger sur les conditions de l’accident. Quant à la presse nationale, le silence est assourdissant. Il faut attendre le quatrième jour et l’extension de la révolte aux villes voisines de Roubaix et Wattrelos pour entendre les premières émissions radio. Ce type de drame et les révoltes qui les accompagnent sont récurrents en France. Malgré cette fréquence, l’articulation systémique police-médias-justice conduit à une minoration des incidents et à leur occultation, elle-même productrice d’une banalisation.

     


     

    La cécité volontaire

     

    Les autorités françaises se refusent à comptabiliser les morts successives à un contact avec les « forces de l’ordre ». Il est dès lors impossible de produire des analyses objectives se basant sur les récurrences et les comparaisons des circonstances. Ce type de recensement existe dans d’autres pays comme les USA, le Canada ou l’Allemagne (2). Il s’agit donc bien d’une cécité volontaire ayant comme conséquence de construire chaque situation comme « cas » isolé ne relevant d’aucune cause systémique. Avec un tel aveuglement volontaire, les « morts de frères » apparaissent au mieux comme des « bavures » et au pire comme de la « légitime défense ».

    Dans les deux cas, l’institution policière comme système n’est pas interrogée ni dans ses missions, ni dans ses méthodes, ni dans son organisation. L’organisation d’une cécité volontaire ne se limite pas en France à la police. Le refus de mettre en place des statistiques selon les origines aboutit à une même invisibilité des discriminations racistes avec le même résultat d’occultation des processus systémiques en œuvre.

    Quelques récurrences peuvent cependant être relevées en comparant les situations parvenant à trouver un écho dans les médias. Au-delà des analyses de nombreux articles de presses se refusant par « professionnalisme » à toute comparaison, des faits têtus contraignent à l’interrogation :

    « C’est un homme noir ou d’origine arabe, habitant un quartier populaire de l’agglomération francilienne ou lyonnaise, âgé de 25 à 30 ans. Idem pour les circonstances qui leur ont été fatales : course-poursuite en voiture, garde-à-vue ou placement en cellule de dégrisement, contrôle d’identité ou interpellation qui tourne mal, tentative de fuite…(3) »

    Les journalistes sont pourtant (nous l’espérons) au courant de quelques caractéristiques de l’institution policière mises en évidence par la recherche. Celles-ci devraient au moins les conduire à une posture d’interrogation critique. Le journal le Monde se félicite ainsi que « l’extrême-droite ne parvient pas à percer dans la police » dans les élections professionnelles de décembre 2014 (4) en soulignant que « La percée des syndicats de police proches de l’extrême droite, redoutée par des organisations représentatives et la place Beauvau, n’a finalement pas eu lieu (5) ». Une autre conclusion de ce décalage entre crainte et résultat est cependant possible : celui de la banalisation, bien au-delà de l’extrême-droite classique des postures essentialistes, sécuritaires et racistes à l’endroit des quartiers populaires en général, de leurs habitants issus de la colonisation en particulier et des jeunes de cette origine encore plus spécifiquement.

    En témoigne l’investigation anthropologique de Didier Fassin auprès d’une équipe de la BAC. L’auteur y met en évidence trois faits saillants des pratiques de la Brigade Anti Criminalité : les arrestations arbitraires ; le caractère disproportionné des moyens mis en œuvre ; (quatre véhicules, soit une quinzaine de policiers, avec exhibition de Flash-Ball…) ; le recours à des pratiques vexatoires. Surtout, il démontre le lien entre opinions racistes des policiers qu’il a accompagné dans leur travail et pratiques discriminatoires (6).

    Le livre témoignage de la policière Sihem Souid concerne, lui, Les policiers de la PAF et met en évidence les mêmes propos racistes (ici complétés par d’autres mots homophobes) et les mêmes pratiques humiliantes et vexatoires (7).

    Ces deux exemples convergent avec les rares études portant sur le point de vue des premiers concernés c’est à dire ici les jeunes des quartiers populaires. Marwan Mohammed résume ainsi l’opinion de ces jeunes dans son enquête sur les « bandes de jeunes » de la région parisienne : « le statut de la police est relativement homogène : elle est raciste, violente et vicieuse (8) ». Le son de cloche est le même dans les propos recueillis par Sophie Body-Gendrot, Catherine Wihtol de Wenden. Voici celui de Faudil à propos de son expérience :

    « Ce qui m’a choqué, c’est le manque de respect … Ils m’ont mis la honte… On est rien du tout … C’est comme si j’étais pas comme eux, ils m’ont tué avec le fait que je sois basané… Ils m’ont massacré. J’étais comme un prisonnier de guerre avant l’exécution … Ce qui m’a le plus choqué… ils ont touchés à la dignité de mes parents … Ici on est victimes de la naissance à la mort … l’humiliation est dans ma tête, personne ne pourra me l’enlever sauf si justice est faite (9). »

    Ce qui est frappant dans le point de vue des premiers concernés, c’est son caractère trans-générationnel. L’expérience d’humiliation que restitue le terme de « hoggra (10) » qu’utilisent les jeunes dans les quartiers populaires est la même que celle que nous avons-nous même vécue dans notre propre adolescence. Je l’ai retrouvée en novembre 2005 lors de conférences dans les quartiers populaires de la région parisienne (11). C’est encore elle que je rencontre dans les séances consacrées à l’écriture d’un livre avec un groupe de femmes de Blancs-Mesnil (12).

    C’est enfin le même sentiment d’humiliation entendu par ces quadragénaires de Tourcoing à propos des explosions actuelles : « On a envie d’exploser nous aussi. On ne le fait pas parce qu’on a nos familles. La police et ses contrôles c’est vraiment de la hoggra qui dure et qui donne envie de tout faire péter ».

    L’expérience du rapport à la police dans les quartiers populaires est généralement marquée par l’abus, la discrimination et surtout l’humiliation. L’occultation de cette donnée de base, empêche toute compréhension aux révoltes qui explosent fréquemment à l’issue des « morts des frères ». Mais bien sûr là-dessus : silence de la presse.



     

    La production d’un système

    Nous ne sommes pas, bien entendu, en présence d’une « essence » raciste de la police et des policiers mais bien du résultat d’un système de fonctionnement alliant des héritages culturels, des missions précises orientant les pratiques, des modes de fonctionnement, etc. Quelques études se sont penchées sur ces processus systémiques. Analysant la « flambée raciste de 1973 en France (13) », Yvan Gastaut met en évidence une causalité historique marquant l’inconscient collectif :

    LA SUITE ICI

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  • La Réforme du Collège passée par décret doit être abrogée.

    Pétition à signer et à faire signer largement.

     

     

     

    Bonjour.

     

     

    Si comme moi vous ne supportez pas le mépris affiché de ce gouvernement par rapport aux professionnels de l’enseignement.

     

     

    Si comme moi vous trouvez que ce décret est une attaque sans précédent contre l’Ecole Républicaine et ses valeurs.

     

     

    Si comme moi vous pensez que nous avons franchi un pas décisif vers la privatisation de l’enseignement.

     

     

    Si comme moi vous constatez que la disparition du grec et du Latin est une mise à mort de la langue française. La langue française est le premier des services publics, elle permet de communiquer et de se comprendre, elle est le véhicule de notre vivre ensemble à l’instar du sang qui coule dans nos veines. L’attaquer, c’est imposer un modèle qui n’est pas le nôtre. L’attaquer c’est affirmer la volonté de détruire la République française.

     

     

    Alors agissez, mais agissez vite.

     

     

    Un des moyens d’agir est de signer la pétition que je vous propose ci-après.

     

     

    Vous trouverez en Pièce Jointe la lettre ouverte que j’ai adressée au Ministre de l’Education (Ce n’est plus le Ministère de l’Education Nationale depuis un décret de 2004 !).

     

     

     

    Le lien vers la pétition est là.

     

     

    http://unautrecollege2016.net/

     

     

     

    Des liens sur ce sujet : ici, ici, ici

     

    Bien cordialement

     

     

    Lucien PONS

     

     

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  • RAPPEL : Combat laïque et combat social : samedi 6 juin de 13 h à 17 h à Paris

    RAPPEL

    Appel à constitution de collectif

    Combat laïque et combat social

    “Charlie” et après ? Suite aux journées des 7, 8, 9 janvier 2015 et aux réactions populaires salutaires qui ont suivi, nous avons constaté les manipulations politico-médiatiques du gouvernement, ses tendances concordataires, le détournement de la laïcité par la droite et l'extrême-droite pour cibler les musulmans ; mais aussi, pour de nombreuses directions d'organisations de la gauche, d'une réaffirmation de positions communautaristes, pour terminer avec l'appel à un meeting “contre 'islamophobie” le 6 mars à Saint-Denis, incluant des organisations islamistes dont l'UOIF, proche de l'organisation internationale des Frères musulmans, ou les Indigènes de la République.

    Nous estimons qu'aucune dynamique émancipatrice ne peut avoir lieu au XXIe siècle en s'alliant avec l'obscurantisme et la réaction. Il reste à répondre aux interrogations des militants dans un climat idéologique confus.
    Les participants à une première réunion tenue le 18 février à Ivry/Seine ont souhaité élargir la mobilisation, pour aller à terme vers un collectif de type "gauche laïque" respectant la diversité des appartenances.

    Dans cet esprit, ils appellent à un débat qui se tiendra le samedi 6 juin de 13 h à 17 h à la Bourse du Travail, salle Jean Jaurès

    3, rue du Château d'eau - 75010 – M° République

    Après une présentation générale sur les perspectives de transformation sociale et politique, en France et dans le contexte international actuel, la discussion sera largement ouverte à partir des axes suivants :

    •   Antiracisme

    •   Féminisme

    •   Ecole

    •   Impasses du communautarisme et intégration

    •   Monde du travail

      A l'initiative d'un collectif composé de l'UFAL (Union des Familles Laïques) Ile-de-France, du journal électronique ReSPUBLICA, du Réseau Education Populaire, du MS21 (Mouvement pour un Socialisme du XXIe siècle), de Prométhée 94 et de militants syndicalistes (CGT, Solidaires, FSU) et politiques (Parti de Gauche, PCF, écologistes)

      Inscriptions et renseignements : contact@gaucherepublicaine.org

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